Le matin ruisselait, gouttes de brume grise
Sale temps de saison, où mauvaise surprise
Ennui à l’horizon, maussade et sans couleurs
Photo en noir et blanc, matinée sans saveur
Passent les instant, longs, longs moments
d’inertie
Rien à faire qu’attendre, et dans l’après-midi
Espérer le retour d’un soleil enflammé
De la chaleur, du vent, des oiseaux enchantés
Le gris de la journée enveloppe les sens
Il anesthésie la vue et autres essences
Rien à faire qu’attendre, attendre et puis
mourir
Le gris de la journée accentue ton absence
Ca ira mieux demain, ça ira mieux, je pense
Et je reste là, imaginant ton sourire
08
avril 2011
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